Dépêche APM du 123 septembre 2007 : Christine d’Autume succède à Danielle Toupillier à la Dhos

PARIS, 11 septembre 2007 (APM) – L’inspectrice générale des affaires sociales Christine d’Autume a été nommée à la Direction de l’hospitalisation et de l’organisation des soins (Dhos) pour remplacer Danielle Toupillier, comme adjointe à la directrice de la Dhos et chef de service du pôle « professions de santé et affaires générales », a-t-on appris lundi auprès du ministère de la santé.

Danielle Toupillier a été nommée en mai directrice générale du Centre national de gestion (CNG) des praticiens hospitaliers et des personnels de direction de la fonction publique hospitalière, rappelle-t-on (cf dépêche APM SNKEB002).

Titulaire d’une maîtrise d’économie, diplômée de l’Ecole nationale de la statistique et de l’administration économique et ancienne élève de l’ENA, Christine d’Autume (51 ans) a commencé sa carrière comme chef du bureau « politique salariale, indemnités et pensions » à la Direction générale de l’administration et de la fonction publique (DGAFP) (1988-1992).

Elle a ensuite été chargée de mission auprès du comité international de bioéthique de l’Unesco (1995-1996) avant de rejoindre la Direction générale de la santé (DGS) comme sous-directrice de la santé des populations (1996-2001) puis chef du service « prévention, programmes de santé et gestion des risques » (2001-2002).

En 2002, elle a rejoint l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) où elle a conduit plusieurs missions d’appui notamment pour le projet de loi de bioéthique, le projet de loi de santé publique, le plan de lutte contre une pandémie grippale et la mise en place d’un centre de gestion des alertes et des crises.

Elle a également travaillé sur l’installation des comités de protection des personnes (CPP) dans la recherche biomédicale, le contrôle de l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM) et l’organisation juridique, administrative et financière de la formation médicale continue (FMC).

Enfin, elle a participé au bilan de la mise en oeuvre du protocole d’accord du 24 août 2004 sur la chirurgie et s’est penchée sur la question de la responsabilité civile médicale des gynécologues-obstétriciens.