L’émission Les Pieds sur terre à 13h30 du jeudi 7 juin sur France Culture est consacrée à la lutte du Rouvray. https://www.franceculture.fr/player/export-reecouter?content=80c54efe-807d-4fba-85aa-3ddb9379ea70 compte rendu de L’AG du Rouvray du 6 juin 2018 (Cf. fichier GREVEdelaFAIM16emeJour6juin2018.pdf joint) Question écrite du député PCF Wulfranc concernant la situation au Rouvray : http://www.communistes-republicains-partidegauche.assemblee-nationale.fr/expressions/situation-au-centre-hospitalier-du-rouvray Communiqué de presse des Grévistes de la faim Centre Hospitalier du Rouvray : Quand nous apprenons la déclaration d’Agnès Buzin ce jour qui traduit  » manque de personnel » par un ‟manque de psychiatres”, nous trouvons cela d’une honte absolue. Encore un aveuglement de plus. L’intersyndical du CH du Rouvray et le comité de grève rappelle que les 52 postes revendiqués sont des postes paramédicaux. Quand va t’elle nous donner enfin des solutions au lieu de provocations ??! (communiqué du 30 mai joint) La gouvernance au CH du Rouvray : la face cachée du problème | Le Club de Mediapart : https://blogs.mediapart.fr/brefthi/blog/310518/la-gouvernance-au-ch-du-rouvray-la-face-cachee-du-probleme?utm_source=facebook&utm_medium=social&utm_campaign=Sharing&xtor=CS3-66 Communiqué : Sud Santé Sociaux 76 + Solidaires 76 appellent à rejoindre la marche de solidarité avec le CHR du Rouvray (Cf. communiqué CHR et appel 4 juin CHR joints) Site de France Info : Grève de la faim à l’hôpital du Rouvray : « Il y a une certaine désespérance dans les hôpitaux psychiatriques » Depuis une quinzaine de jours, sept salariés de l’hôpital psychiatrique du Rouvray, à Sotteville-lès-Rouen, ont entamé une grève de la faim pour dénoncer leurs conditions de travail. franceinfo – Radio France – publié le 05/06/2018 | 19:00 Paris Normandie.fr : Près de Rouen, la situation des grévistes de l’hôpital du Rouvray pousse les élus locaux à réagir – Christophe HUBARD Publié 05/06/2018 Rouvray. La situation des grévistes de la faim a fini par déclencher quelques réactions, pas toujours adroites, parmi les élus locaux. Pendant ce temps, la lutte continue à l’hôpital.

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